« J’aime traduire la lumière, leis transparences et l’usure, celles du temps ou d’une mémoire infidèle.
Je pars de mes souvenirs visuels d’aquarelliste voyageuse. Puis se superposent pigments et mediums, encres et acryliques à la brosse ou au couteau. L’ultime patine est créée lentement par la superposition de glacis multiples. Ainsi renaissent des lieux fantasmés et érodés, à peine troublés d’une silhouette, femme furtive porteuse d’humanité .»